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Plan des catacombes de Paris 2011


Edition Globale

 

 

 

- Mise en place de l'édition 2011 -

 

Si vous n'avez toujours pas lu ce super topo "comment que c'est fait" , c'est en dessous.

[ Voir l'article trop bien sur les cartes ]

 

 


:: Mise à jour Globale 2011 ::

Pour consulter l'édition en ligne c'est ici

[demo 2011]

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 "comment que c'est fait"

Un super topo avec plein d'images :

 

 

A première vue, une carte.. c'est une carte.

Ce qui est intéressant, c'est pas forcément le chemin qu'elle indique, ça peut être aussi "comment elle montre le chemin"

On va mettre un peu les mains dans le cambouis, et regarder ça de plus près  :-)

 

Pour ça, on va parler un peu d'échelle(s).

 

Plan filaire - 1980 (agrandissement)

 

 

L'échelle, c'est ce truc énervant qu'on arrive pas toujours à traduire.  Le 1/500.000e, c'est pas très évocateur.

C'est aussi et surtout "la règle du jeu" que s'est imposé le cartographe : faire une carte très détaillée, super grande, toute petite, archi précise... etc.

C'est "cette échelle" qui va déterminer la forme et le contenu de toute sa cartographie.

  Ci-dessus on peut voir un filaire : une lisibilité extrême pouvant même être réduit à une page A4... tant pis pour les détails :-)


 

Plan Giraud - 1989 

Prenons donc un petit exemple.

Sur une galerie toute droite c'est pas bien compliqué, (quoi que...)

Sur cet extrait du "Giraud", le cadrage est très intéressant. Il exploite au maximum son format de base - le "A Zéro" - pour obtenir un agrandissement maximum. Pour accentuer cet effet, l'échelle des galeries est également augmentée.  Cette astuce permet de gagner énormément en lisibilité. Une galerie d'1 mètre de large est donc représentée avec une largeur d'environ 2 m. Cette légère déformation est rattrapée sur la longueur des galeries ou au niveau des carrefours. On perd pas mal en précision avec une exactitude de l'ordre de +/- 10m, mais le gain en lisibilité est important.

 


 

Plan Giraud - édition Lafouine 1996

 

Si on passe au même extrait en vectoriel (Giraud/Lafouine), on constate une nette amélioration des tracés, plus fins et plus réguliers. L'épaisseur du trait lui même représente déjà à lui seul plusieurs dizaines de centimètres. Une constante très ennuyeuse pour représenter des détails inférieurs à 2 ou 3 mètre et quasiment insoluble. Au passage on remarque également la taille des symboles des puits et des murages - agrandis pour être plus voyants. A l'échelle, ces murages seraient minuscules et presque invisibles mais leur degré d'importance nécessite cette mise en valeur.

 


 

nexus - édition v.5 (planche brute)

Tracé v.5 (2009). Ici tout est à l'échelle réelle.  Un autre monde en terme de cartographie. Chaque mètre gagné en précision, multiplie d'autant le nombre de lignes utilisées pour tracer la carte, ou le temps nécessaire à relever et retranscrire des détails de plus en plus minuscules. Centaines d'heures, millions de segments vectoriels... etc.

 

En repassant à l'échelle réelle, les galeries sont nettement plus fines. En revanche le plan devient parfaitement isométrique et permet de situer des détails de l'ordre du mètre.  En comparaison avec l'édition du dessous (2010): on peut apercevoir toutes les modifications de tracés, corrections ou mises à jour, l'emplacement des piliers, de l'eau qui devient... boue  par assèchement, jusqu'à la forme de chaque niche de bourrage situées le long des galeries, etc..

 


 

nexus - édition v 5.1 - 2010 (pré-version)

 

Tout le problème est donc d'exploiter cette petite marge de précision pour ajouter un maximum de détails et d'indications. Il s'agit donc de reprendre les tracés et d'essayer d'atteindre la limite la plus extrême. On peut ici distinguer la taille ou la forme très précise d'une niche, d'une galerie ou d'un carrefour.

 

Tout l'intérêt de ce gain en précision est que ce qui était "invisible" devient visible : un petit bout de galerie, une chatière, ou une simple irrégularité dans un mur. On peut également utiliser cette définition pour situer un détail particulier, une particularité géologique, historique, ou même une plaque indicative... à leurs emplacements exacts.

 

nexus - édition v 5.III - 2011


 

[démo 2011]

 


 

 

[notice]

 

Plan des Catacombes de Paris - Edition Globale - v.5.3


Format : planche A0 - échelle 1/2500e

Mise en chantier : 2001 - Première édition : 2005

Réalisation : nexus

 

Relevé Global des inscriptions souterraines, indications historiques, géographiques, relevés de surface détaillés,

Notice descriptive des lieux, salles, et sites historiques, illustrations, coupe du sous-sol, planche d'assemblage,

agrandissement détaillés.

 

Planche et tracés réalisés avec une précision au mètre

 


Edition en ligne :  démo v.5.2  - rév. : Jan. 2011

Dernière mise à jour :  09/01/2011   Démo :  


 

 

 

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